L’état d’esprit du survivaliste :

Le travail psychologique du survivaliste, consiste à fournir à chacun dans son entourage l’aptitude de garder son sang froid dans un contexte de survie et dans toutes situations imposées.

Ce n’est pas toujours facile d’analyser les faits « à chaud » , et c’est pourquoi le sang-froid est une arme efficace et souvent, selon l’expérience de survivalisme-survie, décisive . Le survivaliste ne doit  jamais se laisser surprendre. Et si le survivaliste se trouve être « chef de groupe », ne jamais avoir l’air surpris par un événement provoqué, mais chercher à analyser la situation et en débattre avec les autres membres du groupe. Si une situation critique est induite par des assaillants, chercher à  déceler les intentions adverses et les ripostes adéquates qui permettront de reprendre l’avantage de la situation.

Le sport aide à acquérir une bonne base psychologique, en adoptant l’habitude de se dépasser.

La préparation psychologique du survivaliste consiste également à savoir tirer parti et avantage de ses propres compétences, le cas échéant de sa condition propre . En cette matière, je cite à titre d’exemple la gente féminine :

La femme survivaliste et le combat pour la survie :

La femme est souvent , et à tort , considérée comme « potentiellement moins dangereuse qu’un homme » . Nul n’y peut rien car cet état de perception est fermement ancré en chacun de nous de part notre bonne et juste éducation . Toute femme doit savoir en tirer parti sans en abuser , afin de mener l’agresseur potentiel dans « son jeu », sur son terrain et selon ses propres règles, et ainsi prendre l’avantage psychologique sur lui, en s’appropriant “les blancs”(terme du jeu d’échec). Il ne s’agit pas pour elles de se laisser faire, mais au contraire de reprendre l’avantage d’une situation mal engagée, en prenant un ascendant sur l’agresseur, afin de mener celui-ci vers l’erreur .

strategie de survie

Le survivaliste doit user de stratégie pour survivre :

Il convient, dans tous les cas, de savoir faire preuve d’extrapolation dans ses jugements. Chercher toujours à “se mettre à la place de l’autre”.